Comme lors des précédentes sorties, nous nous retrouvons à Rolle à La Couronne sur le coup des 9 heures. Et à nouveau, de futurs membres se joignent à nous. Il s’agit de Louka et son Père Markus, tous deux de Bassins.
Aussi avec Anouk, André, Didier, Eric d’en bas, Eric d’en haut sans sa moitié, Fernand, oui Fernand, Patrick, René, Roland, Yvan et moi, ça n’est pas moins de 13 motos qui s’ébranlent pour une balade nous menant à Solalex.
Patrick, notre guide du jour, nous emmène à travers la campagne vaudoise jusqu’au lac de Bré où nous nous arrêtons pour une petite pause. Le cadre est superbe, l’auberge accueillante, calme jusqu’à ce que notre serveuse s’encouble avec un plateau chargé par des boissons pour une dizaine d’entre nous. Je vous laisse imaginer le vacarme et l’état des lieux. Souhaitons juste, pour la suite de sa carrière, que la pauvre jeune femme n’en était pas à son premier jour d’essai. La pause, vu les événements, s’est un peu éternisée. Nous prenons alors l’autoroute de Chexbre à Aigle afin de regagner un peu de temps.
Source de bien des souvenirs pour certains d’entre nous, la montée Ollon-Villars reste en moment de plaisir. Arrivé à Solalex, nous retrouvons Laurence et Philos qui ont fait le déplacement sur 4 roues.
Nous nous installons au Carnotzet que le restaurant nous a réservé, autour d’une immense table. C’est dans un cadre magique que nous dégustons une fondue aux 3 fromages excellente avant de ne pouvoir résister aux tentations proposées par la carte des desserts. On est bec à bombons ou on ne l’est pas, mais on assume !
Nous décidons de continuer par le Col de La Croix dont la chaussée est toujours aussi défoncée. À chaque bosse et il y en a, je sens la fondue se tasser au fond de mon estomac. Le système digestif, qui en a bien besoin, apprécie ce petit coup de pouce.
Après les Diablerets, nous descendons le col des Mosses, rejoignons Aigle et prenons l’autoroute à Villeneuve. Nous en sortons à Chexbre après 25 kilomètres de bouchons. Nous prenons alors une petite route surplombant le lac puis contournons Lausanne afin de rejoindre Aubonne. Nous sommes à nouveau très surpris par la difficulté à trouver une terrasse ouverte par un beau dimanche ensoleillé en plein mois d’août. Surtout après les longs mois de fermeture due au Covid.
À défaut, non sans avoir perdu certains d’entre nous à Aubonne, c’est au caveau de Luins que nous nous arrêtons pour un dernier verre avant de nous quitter.
Encore une belle sortie qui s’est déroulée dans la bonne humeur ; un grand merci à notre guide Patrick ainsi qu’à tous les nombreux participants
Grégoire Villard
Septembre 2021